La vulgarisation scientifique.

Par la vulgarisation scientifique, j’offre une approche complète de la création de contenus maritimes et fluviaux, de la prise de contact initiale à l’évaluation.

Le processus comprend:

  • la compréhension du projet
  • la réalisation d’un audit
  • la création d’un plan d’action
  • la rédaction du contenu
  • sa livraison pour révision
  • sa publication et l’évaluation des résultats.

Un service personnalisé adapté aux besoins du client, avec une tarification basée sur des facteurs tels que la complexité et la durée du projet.

 

La vulgarisation scientifique ... Quesako ?

– C’est transformer un texte ou un concept « indigeste » en quelque chose de simplement compréhensible avec le plus souvent, une visée pédagogique.

Dans tous les cas le résultat sera devenu fluide à la lecture et accessible au public ciblé ou au moins, au commun des mortels !

Ce travaille d’écriture est mon exercice, que dis-je, mon « jeu » favori.

Il nécessite une bonne compréhension du texte de base et selon la destination de la demande, le contenu sera alors teinté des différentes nuances :

Une large palette de champs lexicaux, un camaïeu de vocabulaire et pourquoi pas, à un soupçon d’humour.

Traductrice d’un langage à la réputation « barbare » j’apprécie particulièrement le fait d’être ce petit « chaînon manquant » entre le monde scientifique et les citoyens d’un monde que nous avons de plus en plus besoin de protéger et donc de comprendre.

Quelle magie de voir s’éclairer les regards, comprenant enfin ce qu’est et à quoi sert le plancton* !

Mes domaines de prédilections sont le milieu marin et maritime, l’océanographie mais plus largement, la vie dans tous ses états.

Le but ultime est celui de la sensibilisation et de la protection de l’environnement.

Le plancton est un micro-organisme soit végétal (phytoplancton) ; soit animal (zooplancton).

Etat larvaire d’un crabe par exemple ou tout simplement micro-organisme microscopique peuplant les océans.

Il est le premier maillon de la chaîne alimentaire.

Invisible à l’œil nu, le phytoplancton produit pourtant à lui seul plus de la moitié de l’oxygène de notre planète.